Ecriture magnetique - fridge magnets
Un tambour angélique excite mon enfer
Nuque docile pour une aveugle
Désert ivre
Caresse d’ébène
Poemes
Entrelacs d’étoiles aux confins du silence
Brume ensevelie écorchure amertume
Aube démesurée au bord du vide
Sous l’envol d’un regard
Le temps est déchiré
Pour un soupçon de désastre
------------------------------------
Intensité du vécu
Au bord de tes lèvres
L’écume des jours
Évanescence improbable
Découper le jour en petites fenêtres de printemps
Aurores magnifiées
Pour un soupçon de douleur
Auteure: Elsa Swietlik
----------------------------------------
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards
---------------------------------------------
La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
------------------------------------------------
Le sommeil a pris ton empreinte et la colore de tes yeux
Et ta bouche qui se tait peut prouver l’impossible
D’une seule caresse je te fais briller de tout ton éclat
Paul Eluard
Un tambour angélique excite mon enfer
Nuque docile pour une aveugle
Désert ivre
Caresse d’ébène
Poemes
Entrelacs d’étoiles aux confins du silence
Brume ensevelie écorchure amertume
Aube démesurée au bord du vide
Sous l’envol d’un regard
Le temps est déchiré
Pour un soupçon de désastre
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Intensité du vécu
Au bord de tes lèvres
L’écume des jours
Évanescence improbable
Découper le jour en petites fenêtres de printemps
Aurores magnifiées
Pour un soupçon de douleur
Auteure: Elsa Swietlik
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Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards
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La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
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Le sommeil a pris ton empreinte et la colore de tes yeux
Et ta bouche qui se tait peut prouver l’impossible
D’une seule caresse je te fais briller de tout ton éclat
Paul Eluard
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