Un film de filles ou comédie romantique avec Matthew Mc Conaughey dans le rôle du « beau cœur playboy » genre « How to lose a guy in 10 days » : surtout ne pas imaginer que cela pourrait arriver dans la vraie vie : célibataires déçues averties !Tout d’abord c’est bourre d’inepties.
Je m’explique :
- La rencontre
- Dans le film : Genre la fille décide de trouver un mec le soir même dans un bar : oh ! comme par miracle Matthew est là aussi dans le même bar ! Et comme par hasard lui aussi a décidé de trouver une fille. Et malgré la centaine de filles alentour plus belles les unes que les autres, c’est sur elle qu’il flashe ! Non seulement il va la voir, mais il lui claque un magnifique sourire, engage la conversation pour l’inviter au restaurant là maintenant tout de suite, évidemment elle accepte, ils sortent, et il a une belle moto garée juste devant (et tout cela n’a pas duré 5 minutes…).
- En réalité : quand vous sortez dans un bar et que vous êtes belle de la tête aux pieds (superbes boucles qui tombent en cascade dont la réalisation au fer à friser vous a pris une bonne demie heure, maquillage glamour et teint impeccable, dernière petite veste tendance aux manches ballonnées achetée l’après midi même qui vous fait une taille de rêve, jeans ultra slim qui vous allongent la jambe et bottes de tueuse qui vous galbent le mollet), en général il n’y a pas de « Matthew Mc » dans le bar mais des british rondouillards qui boivent des pintes…
S’il y en a un avec un peu de potentiel, soit vous vous apercevez dépitée qu’il porte un anneau à l’annulaire gauche, soit c’est un PD à tous les coups.
Ensuite, pour la probabilité de tomber nez a nez avec un homme vraiment séduisant, qui plus est vous sourit, vous aborde et vous invite à dîner au restaurant en 5 minutes chrono, alors la, j’aimerais bien voir !
De plus, pour qu’un britannique ose vous sourire, déjà il faut qu’il ait bu au moins 6 pintes de bière. Puis pour oser vous adresser la parole, alors là chapeau !
Alors espérer une invitation au restau en moins de dix minutes par un homme aussi beau que Matthew Mc Conaughley, vraiment il ne faut pas nous prendre pour des bécasses !
Enfin…. Rêver n’a jamais tué personne…
- La rencontre
- Dans le film : Genre la fille décide de trouver un mec le soir même dans un bar : oh ! comme par miracle Matthew est là aussi dans le même bar ! Et comme par hasard lui aussi a décidé de trouver une fille. Et malgré la centaine de filles alentour plus belles les unes que les autres, c’est sur elle qu’il flashe ! Non seulement il va la voir, mais il lui claque un magnifique sourire, engage la conversation pour l’inviter au restaurant là maintenant tout de suite, évidemment elle accepte, ils sortent, et il a une belle moto garée juste devant (et tout cela n’a pas duré 5 minutes…).
- En réalité : quand vous sortez dans un bar et que vous êtes belle de la tête aux pieds (superbes boucles qui tombent en cascade dont la réalisation au fer à friser vous a pris une bonne demie heure, maquillage glamour et teint impeccable, dernière petite veste tendance aux manches ballonnées achetée l’après midi même qui vous fait une taille de rêve, jeans ultra slim qui vous allongent la jambe et bottes de tueuse qui vous galbent le mollet), en général il n’y a pas de « Matthew Mc » dans le bar mais des british rondouillards qui boivent des pintes…
S’il y en a un avec un peu de potentiel, soit vous vous apercevez dépitée qu’il porte un anneau à l’annulaire gauche, soit c’est un PD à tous les coups.
Ensuite, pour la probabilité de tomber nez a nez avec un homme vraiment séduisant, qui plus est vous sourit, vous aborde et vous invite à dîner au restaurant en 5 minutes chrono, alors la, j’aimerais bien voir !
De plus, pour qu’un britannique ose vous sourire, déjà il faut qu’il ait bu au moins 6 pintes de bière. Puis pour oser vous adresser la parole, alors là chapeau !
Alors espérer une invitation au restau en moins de dix minutes par un homme aussi beau que Matthew Mc Conaughley, vraiment il ne faut pas nous prendre pour des bécasses !
Enfin…. Rêver n’a jamais tué personne…
Elsa Swietlik
No comments:
Post a Comment